En cette fête de l’Assomption, Marion Sigaut nous rappelle la dévotion fervente dont était l’objet la Vierge Marie tout au long de l’histoire de France.
En cette fête de l’Assomption, Marion Sigaut nous rappelle la dévotion fervente dont était l’objet la Vierge Marie tout au long de l’histoire de France.
« Une autre Vierge, qui a vu les envahisseurs de 1940, semble depuis lors avoir pris la première place dans la dévotion messine : érigée en 1924, sur une haute colonne, en place publique de Metz, elle fut le réconfort de ceux qui restèrent dans la ville sous l’occupation allemande, tandis que les 200.000 Lorrains, exilés un peu partout, l’évoquaient comme une assurance de sauvegarde et de prochain retour. Cette noble statue de Jacques Martin a en outre le mérite de suggérer avec grâce et profondeur l’union du Médiateur et de la Médiatrice : le geste de protection, que l’Enfant fait de la main gauche, est guidé par le bras de la Mère. »
M. Vloberg, La Vierge et l’Enfant dans l’art français, Arthaud